https://player.vimeo.com/video/1063512659
La médecine et la chirurgie esthétique affichent une croissance insolente : 3 milliards d’euros en 2024 et une progression attendue de 3% par an jusqu’en 2027 selon la dernière étude de Xerfi sur le secteur. Si le bistouri marque le pas avec une hausse timide de 0,5% par an, la médecine esthétique, elle, explose avec +7,8% de croissance annuelle. Moins invasive, plus abordable, plus rapide : elle séduit, et pas que les stars d’Instagram !
L’obsession du paraître : un business florissant
L’apparence est devenue une obsession collective. Entre le vieillissement de la population et l’omniprésence des standards de beauté sur les réseaux sociaux, le culte du corps sculpte un marché en pleine mutation. Les jeunes adultes (18-25 ans) s’imposent comme des clients stratégiques, tandis que les hommes s’invitent à la fête. Greffes de barbe, peeling, injections : les centres de médecine esthétique adaptent leur offre et raflent la mise.
Adieu bistouri, bonjour seringue !
Pourquoi passer par la case chirurgie quand un simple coup de seringue suffit ? Les injections d’acide hyaluronique et de toxine botulique se démocratisent, portées par des innovations toujours plus performantes. Dernier cri : un Botox longue durée signé Galderma. Résultat ? Moins de rendez-vous, plus d’efficacité.
La province, nouvel eldorado de l’esthétique
Lazeo, la Clinique des Champs-Élysées, My Laser… Ces réseaux de centres esthétiques s’étendent bien au-delà des grandes villes. Auxerre, Poitiers, Chambéry : le phénomène gagne la province. Une expansion portée par une clientèle avide de soins accessibles sans passer par Paris.
La guerre des acteurs : qui rafle la mise ?
Longtemps dominé par les cliniques indépendantes, le secteur voit émerger de nouveaux géants. Les réseaux franchisés explosent, attirant investisseurs et fonds financiers. En parallèle, les instituts de beauté montent en gamme et grignotent des parts de marché grâce à des technologies non médicales (lumière pulsée, stimulation mécanique). Moins cher, tout aussi efficace ? Le grand public hésite de moins en moins.
L’ombre au tableau : dérives et législations
Mais tout n’est pas rose sous le scalpel. Le marché est miné par les injections illégales et un tourisme esthétique risqué. Un tiers des patients opérés à l’étranger reviennent avec des complications. Face à ces dérives, les centres esthétiques investissent dans la transparence : équipements high-tech, communication soignée, e-réputation impeccable. L’objectif ? Rassurer et fidéliser.
Un lifting du marché qui ne fait que commencer
Innovation, expansion géographique, nouvelles clientèles… La médecine esthétique n’a pas fini de séduire. Mais entre réglementation et pression concurrentielle, le secteur devra jongler entre croissance et crédibilité. Se refaire une beauté, oui, mais pas à n’importe quel prix.
L’obsession du paraître : un business florissant
L’apparence est devenue une obsession collective. Entre le vieillissement de la population et l’omniprésence des standards de beauté sur les réseaux sociaux, le culte du corps sculpte un marché en pleine mutation. Les jeunes adultes (18-25 ans) s’imposent comme des clients stratégiques, tandis que les hommes s’invitent à la fête. Greffes de barbe, peeling, injections : les centres de médecine esthétique adaptent leur offre et raflent la mise.
Adieu bistouri, bonjour seringue !
Pourquoi passer par la case chirurgie quand un simple coup de seringue suffit ? Les injections d’acide hyaluronique et de toxine botulique se démocratisent, portées par des innovations toujours plus performantes. Dernier cri : un Botox longue durée signé Galderma. Résultat ? Moins de rendez-vous, plus d’efficacité.
La province, nouvel eldorado de l’esthétique
Lazeo, la Clinique des Champs-Élysées, My Laser… Ces réseaux de centres esthétiques s’étendent bien au-delà des grandes villes. Auxerre, Poitiers, Chambéry : le phénomène gagne la province. Une expansion portée par une clientèle avide de soins accessibles sans passer par Paris.
La guerre des acteurs : qui rafle la mise ?
Longtemps dominé par les cliniques indépendantes, le secteur voit émerger de nouveaux géants. Les réseaux franchisés explosent, attirant investisseurs et fonds financiers. En parallèle, les instituts de beauté montent en gamme et grignotent des parts de marché grâce à des technologies non médicales (lumière pulsée, stimulation mécanique). Moins cher, tout aussi efficace ? Le grand public hésite de moins en moins.
L’ombre au tableau : dérives et législations
Mais tout n’est pas rose sous le scalpel. Le marché est miné par les injections illégales et un tourisme esthétique risqué. Un tiers des patients opérés à l’étranger reviennent avec des complications. Face à ces dérives, les centres esthétiques investissent dans la transparence : équipements high-tech, communication soignée, e-réputation impeccable. L’objectif ? Rassurer et fidéliser.
Un lifting du marché qui ne fait que commencer
Innovation, expansion géographique, nouvelles clientèles… La médecine esthétique n’a pas fini de séduire. Mais entre réglementation et pression concurrentielle, le secteur devra jongler entre croissance et crédibilité. Se refaire une beauté, oui, mais pas à n’importe quel prix.
Publié le lundi 14 avril 2025 . 
3 min. 08
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