https://player.vimeo.com/video/1059738491
Ne cédez pas au « syndrome de l’appartement » !
Il rend fou ! Et il vous mettra en situation de ne jamais jamais aboutir à vos fins !
Adieu job, amour, logement …
Sortez de la critérisation pour « penser global » !
Je m’explique :
Le marché de l’immobilier, comme le marché de l’amour, comme celui de l’emploi consiste à faire rencontrer des milliers, des millions de propositions qui sont censées entrer en adéquation.
Pour maximiser cette adéquation, on compte maintenant sur la main invisible des algorithmes, surtout depuis qu’ils sont pilotés par l’Intelligence Artificielle !
Pour que cela fonctionne, il faut critériser, c’est-à-dire identifier des critères qui vont ensuite être hiérarchisés puis évalués et, à l’aide de matrices de plus en plus complexes, donner la possibilité de trouver L’APPARTEMENT de nos rêves, le ou la PARTENAIRE idéal-e, ou encore le JOB qu’on appelait de nos vœux !
C’est logique !
Et ça ne fonctionne pas.
C’est un agent immobilier qui me l’a dit récemment ! Beaucoup de clients deviennent fous ! Plus ils visitent des logements, plus ils deviennent exigeants et moins ils arrivent à se décider.
Il faut la cuisine du premier appartement, la vue du second, la superficie du troisième, avec l’emplacement du quatrième ! Plus on en voit, moins on décide.
On peut translater dans le recherche de l’amour : le corps de l’un, le visage de l’autre, le sourire de la troisième, le métier de la quatrième etc etc …
Vous pouvez également dupliquer au marché de l’emploi.
Il est évidemment impossible de s’en sortir et la quête devient insatiable et donc, sans fin !
On oublie deux choses, c’est qu’avant l’idéal qu’on ne contrera jamais car par définition, il s’éloigne toujours, il y a la satisfaction, du mot latin «satis » qui vent dire « assez ».
On peut être satisfait de son salaire sans qu’il touche le plafond, satisfait de sa vie sans qu’elle tutoie les étoiles, satisfait de son lieu de vie, sans qu’il ne soit digne des catalogues de décoration.
Assez, c’est aussi dire « STOP ».
Assez de quête éperdue, assez d’atermoiement, et se dire que le choix qu’on a fait est le bon choix.
Comment ? Sortir des critères et « penser global » et « coup de cœur », à l’heure de l’IA c’est certainement nager contre le courant mais ça vaut la peine de mettre en mode pause son petit algorithme personnel et choisir avec son cœur.
Dernière option avant la sortie : croire au facteur chance ou au hasard !
Mais là, c’est pour les grands résistants de notre ère ultrahypermoderne ??
Il rend fou ! Et il vous mettra en situation de ne jamais jamais aboutir à vos fins !
Adieu job, amour, logement …
Sortez de la critérisation pour « penser global » !
Je m’explique :
Le marché de l’immobilier, comme le marché de l’amour, comme celui de l’emploi consiste à faire rencontrer des milliers, des millions de propositions qui sont censées entrer en adéquation.
Pour maximiser cette adéquation, on compte maintenant sur la main invisible des algorithmes, surtout depuis qu’ils sont pilotés par l’Intelligence Artificielle !
Pour que cela fonctionne, il faut critériser, c’est-à-dire identifier des critères qui vont ensuite être hiérarchisés puis évalués et, à l’aide de matrices de plus en plus complexes, donner la possibilité de trouver L’APPARTEMENT de nos rêves, le ou la PARTENAIRE idéal-e, ou encore le JOB qu’on appelait de nos vœux !
C’est logique !
Et ça ne fonctionne pas.
C’est un agent immobilier qui me l’a dit récemment ! Beaucoup de clients deviennent fous ! Plus ils visitent des logements, plus ils deviennent exigeants et moins ils arrivent à se décider.
Il faut la cuisine du premier appartement, la vue du second, la superficie du troisième, avec l’emplacement du quatrième ! Plus on en voit, moins on décide.
On peut translater dans le recherche de l’amour : le corps de l’un, le visage de l’autre, le sourire de la troisième, le métier de la quatrième etc etc …
Vous pouvez également dupliquer au marché de l’emploi.
Il est évidemment impossible de s’en sortir et la quête devient insatiable et donc, sans fin !
On oublie deux choses, c’est qu’avant l’idéal qu’on ne contrera jamais car par définition, il s’éloigne toujours, il y a la satisfaction, du mot latin «satis » qui vent dire « assez ».
On peut être satisfait de son salaire sans qu’il touche le plafond, satisfait de sa vie sans qu’elle tutoie les étoiles, satisfait de son lieu de vie, sans qu’il ne soit digne des catalogues de décoration.
Assez, c’est aussi dire « STOP ».
Assez de quête éperdue, assez d’atermoiement, et se dire que le choix qu’on a fait est le bon choix.
Comment ? Sortir des critères et « penser global » et « coup de cœur », à l’heure de l’IA c’est certainement nager contre le courant mais ça vaut la peine de mettre en mode pause son petit algorithme personnel et choisir avec son cœur.
Dernière option avant la sortie : croire au facteur chance ou au hasard !
Mais là, c’est pour les grands résistants de notre ère ultrahypermoderne ??
Publié le lundi 28 avril 2025 . 
2 min. 51
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