Connexion
Accédez à votre espace personnel
Recevez nos dernières vidéos et actualités quotidiennementInscrivez-vous à notre newsletter
ÉCONOMIE
Décryptages éco Intelligence économique Intelligence sectorielle Libre-propos Parole d'auteur Graphiques Notes de lecture
STRATÉGIE & MANAGEMENT
Comprendre Stratégies & Management A propos du management Parole d'auteur
IQSOG
RUBRIQUES
Économie généraleFranceEurope, zone euroÉconomie mondiale Politique économique Emplois, travail, salairesConsommation, ménagesMatières premières Finance Géostratégie, géopolitique ComprendreManagement et RHStratégieMutation digitaleMarketingEntreprisesFinanceJuridiqueRecherche en gestionEnseignement, formation
NEWSLETTERS
QUI SOMMES-NOUS ?


Savoir s'inspirer des losers

Publié le mardi 9 mars 2021 . 1 min. 38

Voir plus tard
Partager
Imprimer

Le « benchmarking » est une pratique très courante dans les entreprises. Ce terme anglo-saxon peut être défini de la manière suivante : « Comme on ne sait pas quoi faire, on regarde ce que font nos concurrents et on fait la même chose ». Dans la plupart des cas, on ne s’intéresse pas à l’ensemble de ses concurrents. On se focalise sur ceux qui ont le plus de succès. A première vue, cela semble relever du bon sens. Quel intérêt aurait-on à imiter un « loser » ?


Malheureusement, les résultats sont rarement à la hauteur des espérances. Rien ne garantit que les pratiques qu’on imite sont réellement à l’origine du succès d’un « winner ». Surtout, le « benchmarking » ne permet pas d’innover. Dans le meilleur des cas, il permet de rattraper une partie de son retard par rapport à l’entreprise qu’on imite. Il ne permet jamais de la dépasser.


Faut-il alors définitivement renoncer au « benchmarking » ? Pas nécessairement. En revanche, il ne faut pas imiter les entreprises à succès. Il vaut mieux s’inspirer des entreprises qui sont au bord de la faillite et de celles qui viennent tout juste d’entrer sur notre marché. Comment expliquer ce conseil plutôt surprenant ? Ces deux types d’entreprises ont un point commun : elles n’ont plus ou pas grand-chose à perdre. Elles sont alors beaucoup plus susceptibles d’innover que les entreprises plus performantes !


Mais la vraie alternative au « benchmarking » reste de réaliser ses propres expérimentations. Mieux vaut trouver sa propre voix qu’imiter les autres …


 
Source : Vermeulen, F. (2017). Breaking bad habits: defy industry norms and reinvigorate your business. Harvard Business Press.


Téléchargez l'application


Les dernières vidéos
Marketing

Les dernières vidéos
de Jérôme Barthélemy

x
Cette émission a été ajoutée à votre vidéothèque.
ACCÉDER À MA VIDÉOTHÈQUE
x

CONNEXION

Pour poursuivre votre navigation, nous vous invitons à vous connecter à votre compte Xerfi Canal :
Déjà utilisateur
Adresse e-mail :
Mot de passe :
Rester connecté Mot de passe oublié?
Le couple adresse-mail / mot de passe n'est pas valide  
  CRÉER UN COMPTE
x
Saisissez votre adresse-mail, nous vous enverrons un lien pour définir un nouveau mot de passe.
Adresse e-mail :