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Les arguments en faveur du bio ont connu près de 3 ou 4 étapes depuis une vingtaine d’années. Les producteurs et entreprises du bio sont aujourd’hui redevables de deux erreurs majeures


1. Le manque de cohérence et de cohésion de leur argumentation au fil du temps


2. L’omniprésence du politique dans le soutien à cette tendance sans considération du consommateur assimilé à un électeur.
De plus, non seulement ces deux erreurs sont désormais au débit du bio mais ont entraîné d’autres erreurs gigantesques dont la plus emblématique est le retrait brutal de la maintenance et la construction de centrales nucléaires.


En premier le bio était justifié par le produit lui-même, un produit qui déclare la guerre au phyto et à l’agro business qui a tôt fait de s’internationaliser dans ses approvisionnements et fabrications.


En deuxième le bio a pour mission de sauver la planète, de ralentir le réchauffement climatique, d’être un citoyen responsable. Mais il est aussi responsable de faillites actuelles ou à venir chez ses producteurs, la faute certainement au marché mais le marché  existe aussi.


En troisième et actuellement, le consommateur devrait acheter bio, avec un premium très important de prix, pour sauver les agriculteurs … qui accusent l’agrobusiness et la distribution de s’octroyer les marges et de fixer les prix au plus haut.


Trois erreurs majeures pour un de profundis ? Probablement car d’une part les PME bio qui ne sont pas dans le luxe tombent de haut mais d’autre part bien des dirigeants de l’écologie, eux, se recyclent très bien dans la politique ou les cabinets fonctionnels d’entreprises ou encore les grandes institutions dites humanistes bien-pensantes et bien payantes


De profundis clamavi…


Le bio pourrait s'effondrer à cause de son indigence marketing. Ce dernier doit repenser la production bio en le fondant sur la valeur pour le client. Est-ce si compliqué ?


Publié le lundi 23 septembre 2024 . 2 min. 36

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