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Les entreprises « bien processées » ne s’adaptent-elles pas mieux que les autres ?

Je constate deux types d’entreprise : celles qui avaient un PCA et celles qui n’en avaient pas. Il est clair que celles qui avaient un PCA ont été plus réactives. C’est notamment le cas des banques et des grands corporates. Du reste, beaucoup d’entre elles semblent avoir expérimenté pour tout ou partie du PCA à l’occasion des dernières grandes grèves. En revanche, sans distinction d’entreprise, l’agilité / l’adaptabilité est indépendante de la structuration des activités. En clair, ce ne sont pas de bons  process qui ont aidé à cette adaptation. Il y a, de manière un peu caricaturale, deux cas. Les entreprises où les process ont finalement été rapidement by passés parce que l’urgence justifiait de s’en abstraire. On le constate chez Akeance aussi bien, trivialement, sur les circuits de facturation que sur l’intégration de la fonction « achats » dans la vente des missions, ou encore dans les habilitations d’accès à des bases de données ou systèmes d’information, par exemple. A l’inverse, là où les process ont été maintenus, le fonctionnement des activités est devenu plus lourd, plus rigide et plus lent.

Voulez-vous dire que les process ne sont pas pertinents

Non bien sûr ! Mais je constate deux attitudes générales. Pour une partie des entreprises, les process représentent en quelque sorte une « charte de bon modus operandi » et au début du confinement, très vite, les processus habitiuels ont été contournés, allégés. L’imagination, le bon sens, le « positiv thinking » ont pris le dessus.  Le process n’est pas le dogme. Pour une autre partie des entreprises, le process devait toujours être respecté. Le process, dans ce cas-là, c’est le dogme. Non pas parce que le process et plus lourd / plus contraignant / plus précis qu’ailleurs mais parce processer les activités ne s’est pas nécessairement accompagner du maintien d’un travail en équipe, d’une vraie collaboration humaine, d’une capacité à imaginer / à s’adapter.

Quelle leçon tirer de tout cela ?

L’entreprise est une sorte de jeu au sens ludique du terme. Les règles du jeu doivent être honnêtes, précises et sécurisantes pour tous (collègues, clients, fournisseurs…). Et comme tout jeu, l’important réside dans le plaisir de jouer et pas dans l’incapacité à changer les règles. Tous les jeux ont des versions pour enfants par exemple, c’est-à-dire qu’on est capable de changer les règles. Toutes les entreprises peuvent avoir cette agilité. Replacer le joueur au-dessus de la règle !


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