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Mixer les outils de gestion et de contrôle : le control package

Publié le samedi 12 novembre 2016 . 2 min. 17

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La plupart des praticiens et chercheurs pensent les outils de gestion en général et les outils du contrôle en particulier en termes de fonctionnalités et d’efficacité individuelle de ces outils. Les questions sont alors du type : ce tableau de bord est-il une bonne pratique. Le BSC est il un bon outil ?
Mais ces outils sont toujours pensés comme fonctionnement isolement alors qu’ils sont pris dans un réseau d’outils avec lesquels ils interagissent. Cela change leur nature, l’utilisation qui en faite et au final leur utilité.

Partant de ce constat, les chercheurs ont développé le concept de control package afin de penser le mix de control c’est-à-dire la combinaison systémique des outils.

Par simplicité, retenons la grille de Malmi et Brown.

 
Malmi et Brown distinguent des contrôles cuturels composés des coalitions, des valeurs et des symboles
Les contrôles que j’appelerai classiques et que incluent la planification, les contrôles cybernatique de type budget, tableaux de bord, et système de récompenses.

Et enfin les contrôles administratifs qui incluent les règles de gouvernance, les règles de structuration et les procédures.
Ce type d’outils est très utiles pour cartographier les pratiques existantes.
Mais il permet aussi d’identifier les relations entre ces outils.
Par exemple une étude de cas sur une collectivité a permis d’obtenir le résultat suivant.

 

Au final, le control package, montre que :
• La stratégie n’est pas centrale. Son existence ne semble plus qu’être symbolique.
• Une logique de court terme  d’économies l’emporte et a cristallisé l’opposition entre les dirigeants d’hier (le clan communiste) et les dirigeants d’aujourd’hui (le clan socialiste).
• De nombreux éléments sont marginaux dans le contrôle package et ne semblent plus exercer au mieux qu’une fonction symbolique comme pour l’Agenda 21.

Cette analyse permet de donner une image différente du fonctionnement de l’organisation et donc de mieux comprendre et diagnostiquer les problèmes de gestion rencontrés.


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