Devenus un marché de masse, les cosmétiques bio et naturels accélèrent leur démocratisation et s’installent dans les routines beauté des Français. La force de frappe des géants de l’industrie cosmétique, tels L’Oréal, Henkel ou Unilever, a permis à leurs nouvelles marques et déclinaisons bio et naturelles de s’imposer dans les rayons de la grande distribution, nouveau circuit de référence. Ce sont quelques-uns des grands constats réalisés par les experts de Xerfi dans la dernière étude Xerfi Precepta intitulée : « Le marché des cosmétiques bio et naturels à l’horizon 2025 ».
Mais plusieurs phénomènes pourraient stopper l’essor de ce marché et pousser les acteurs spécialisés à riposter. D’une part, les pressions sur le pouvoir d’achat qui pénalisent déjà le bio dans l’alimentaire, pourraient également ralentir la diffusion du bio dans l’univers de la beauté. La capacité des marques à contenir la hausse de leurs prix va dès lors s’avérer déterminante alors que leurs coûts de production s’envolent. D’autre part, la concurrence risque de s’accroître avec le lancement de l’EcoBeautyScore. À l’initiative des leaders mondiaux de la beauté, ce système de notation environnementale pourrait contribuer à changer radicalement la donne pour l’image des cosmétiques conventionnels.
Dans ce contexte, quelles sont les perspectives du marché d’ici 2025 face à un contexte économique dégradé ? Comment les acteurs spécialisés se positionnent ou se repositionnent-ils ? Et quelles sont les initiatives de chaque circuit pour promouvoir l’offre ? Pour répondre à ces questions, l’étude détaille les stratégies des marques spécialisées dans le bio et le naturel pour renforcer leurs positions sur le marché. Mentionnons :
- L’innovation et l’élargissement de l’offre via de nouveaux principes actifs ou encore la mise au point de crèmes solaires et maquillages. C’est notamment le cas de Pierre Fabre qui déploie une stratégie d’innovation à 360°.
- 2e axe, le renforcement des engagements éco-responsables avec des ingrédients plus vertueux ou la réduction des emballages.
- Citons aussi le développement des digitally native vertical brand (DNVB) comme Respire, devenue incontournable en rayon.
- Ou encore l’essor du marketing d’influence et des réseaux sociaux dans les stratégies commerciales.
L’étude Xerfi Precepta revient également sur les stratégies des géants de l’hygiène-beauté ainsi que sur celles des distributeurs, quel que soit le circuit, des magasins bio aux parfumeries sélectives en passant par les pharmacies ou la grande distribution.
Mais plusieurs phénomènes pourraient stopper l’essor de ce marché et pousser les acteurs spécialisés à riposter. D’une part, les pressions sur le pouvoir d’achat qui pénalisent déjà le bio dans l’alimentaire, pourraient également ralentir la diffusion du bio dans l’univers de la beauté. La capacité des marques à contenir la hausse de leurs prix va dès lors s’avérer déterminante alors que leurs coûts de production s’envolent. D’autre part, la concurrence risque de s’accroître avec le lancement de l’EcoBeautyScore. À l’initiative des leaders mondiaux de la beauté, ce système de notation environnementale pourrait contribuer à changer radicalement la donne pour l’image des cosmétiques conventionnels.
Dans ce contexte, quelles sont les perspectives du marché d’ici 2025 face à un contexte économique dégradé ? Comment les acteurs spécialisés se positionnent ou se repositionnent-ils ? Et quelles sont les initiatives de chaque circuit pour promouvoir l’offre ? Pour répondre à ces questions, l’étude détaille les stratégies des marques spécialisées dans le bio et le naturel pour renforcer leurs positions sur le marché. Mentionnons :
- L’innovation et l’élargissement de l’offre via de nouveaux principes actifs ou encore la mise au point de crèmes solaires et maquillages. C’est notamment le cas de Pierre Fabre qui déploie une stratégie d’innovation à 360°.
- 2e axe, le renforcement des engagements éco-responsables avec des ingrédients plus vertueux ou la réduction des emballages.
- Citons aussi le développement des digitally native vertical brand (DNVB) comme Respire, devenue incontournable en rayon.
- Ou encore l’essor du marketing d’influence et des réseaux sociaux dans les stratégies commerciales.
L’étude Xerfi Precepta revient également sur les stratégies des géants de l’hygiène-beauté ainsi que sur celles des distributeurs, quel que soit le circuit, des magasins bio aux parfumeries sélectives en passant par les pharmacies ou la grande distribution.
Publié le jeudi 22 décembre 2022 . 2 min. 48
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