De l'intelligence des données à l'expertise augmentée
Connexion
Accédez à votre espace personnel
Recevez nos dernières vidéos et actualités quotidiennementInscrivez-vous à notre newsletter
ÉCONOMIE
Décryptages éco Intelligence économique Intelligence sectorielle Libre-propos Parole d'auteur Graphiques Notes de lecture
STRATÉGIE & MANAGEMENT
Comprendre Stratégies & Management A propos du management Parole d'auteur
RESEARCH
RUBRIQUES
Économie généraleFranceEurope, zone euroÉconomie mondiale Politique économique Emplois, travail, salairesConsommation, ménagesMatières premières Finance Géostratégie, géopolitique ComprendreManagement et RHStratégieMutation digitaleMarketingEntreprisesFinanceJuridiqueRecherche en gestionEnseignement, formation
NEWSLETTERS
QUI SOMMES-NOUS ?

Voir plus tard
Partager
Imprimer
Xerfi Canal a reçu Louis Gallois, président exécutif d'EADS, interviewé par Jean-Michel Quatrepoint:

Convaincu qu'il n'est pas trop tard pour réindustrialiser la France, Louis Gallois estime que la grande différence entre la France et l'Allemagne, qui a placé la compétitivité de son industrie au cœur de ses priorités, est d'ordre culturel. Lors de son entretien avec Jean-Michel Quatrepoint, le président d'EADS a en particulier abordé les thèmes suivants :

   Une organisation industrielle comparable en France et en Allemagne comme l'illustre les chaînes de production de l'A320, même si notre pays n'a pas été capable de générer un cheptel d'entreprises de taille moyenne grâce au soutien des banques régionales et des grands groupes contrairement à notre voisin d'outre-Rhin;

   La désindustrialisation de la France n'est pas liée au coût du travail en France, même si les cadres coûtent 20% à 30% plus chers aux entreprises installées dans l'Hexagone qu'en Allemagne ;

   L'excellence des écoles d'ingénieurs et la prise de conscience politique de réindustrialiser sont de précieux atouts de la France;

   La recherche, l'éducation, la formation ; le renforcement des fonds propres des entreprises via une réorientation de l'épargne des ménages vers l'investissement productif conjuguée à une reforme fiscale d'envergure et la solidarité entre les filières sont les trois socles sur lesquels la France doit travailler pour retrouver sa compétitivité industrielle;

   Un carnet de commandes de plus de 500 milliards d'euros et une trésorerie nette supérieure à 11 milliards d'euros pour EADS qui met le groupe à l'abri des aléas financiers.

x
Cette émission a été ajoutée à votre vidéothèque.
ACCÉDER À MA VIDÉOTHÈQUE
x

CONNEXION

Pour poursuivre votre navigation, nous vous invitons à vous connecter à votre compte Xerfi Canal :
Déjà utilisateur
Adresse e-mail :
Mot de passe :
Rester connecté Mot de passe oublié?
Le couple adresse-mail / mot de passe n'est pas valide  
  CRÉER UN COMPTE
x
Saisissez votre adresse-mail, nous vous enverrons un lien pour définir un nouveau mot de passe.
Adresse e-mail :