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En dépit de bases solides, le financement des énergies renouvelables traverse une période de fortes turbulences selon la dernière étude Xerfi Precepta. En effet, la hausse rapide des taux d’intérêt et la remontée des coûts des équipements et de construction ont soudainement remis en question la rentabilité de nombreux projets éoliens et solaires en cours. Le durcissement de la politique monétaire des deux côtés de l’Atlantique pousse aussi les investisseurs à privilégier les placements de court terme aux dépens de l’equity. En parallèle, les acteurs américains se détournent des fonds durables.


Toutefois, cette rupture de tendance contraste avec ce qui se passe sur le terrain. Le secteur des EnR affiche une croissance solide en Europe comme en France où les raccordements de nouvelles capacités éoliennes et photovoltaïques ont atteint des records en 2023. L’essentiel des projets est toujours couvert par des garanties publiques. Et les fonds spécialisés dans la transition énergétique continuent de grandir et d’attirer les investisseurs, du moins en Europe.


Dans ce contexte plus qu’ambivalent, comment les financeurs s’adaptent-ils à l’attractivité renforcée des placements de court terme ? Comment se positionnent-ils sur les segments émergents de la transition énergétique ? Et quel scénario d’évolution se dessine autour du financement des EnR d’ici 2030 ? Pour répondre à ces questions, les experts de Xerfi ont décrypté dans cette étude les stratégies des professionnels du financement des énergies renouvelables. Parmi ces dernières, nous avons retenu :


• Premièrement, le lancement de fonds evergreen, soit un type de fonds d'investissement qui dispose d'une capitalisation continue et d'une durée de vie indéfinie, ou encore le positionnement comme producteur d’EnR. C’est notamment le virage stratégique opéré par le Crédit Agricole avec CATE pour se placer comme producteur et distributeur d’électricité verte.
• Ensuite, le renforcement de l’expertise et de la visibilité via des fonds spécialisés à l’instar d’Hy24, poids lourd du capital-investissement dans l’hydrogène.
• Autre axe de développement, le recours aux labels et certifications. Le rapport vous propose ici un classement des financeurs les plus engagés dans le label Greenfin.
• L’investissement dans des activités prometteuses connexes aux EnR est une autre stratégie déployée par les acteurs. Dans ce domaine, RGreen Invest s’est distingué par son offensive dans le financement des bornes de recharge pour véhicules électriques.
• Financer les énergies renouvelables passe enfin parfois par l’introduction en bourse d’un spécialiste. Neoen, fondée en 2008 et spécialisée dans les énergies solaire et éolienne, est un exemple de cotation à succès d'un spécialiste indépendant des EnR.


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