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D’après la nouvelle étude Xerfi Precepta, la dépollution des bâtiments et terrains va devenir une étape incontournable de tout projet de construction. La pression démographique et les limites à l’artificialisation des sols obligent désormais les promoteurs à réhabiliter des friches industrielles pour développer leurs programmes. Le marché tire aussi avantage de la réindustrialisation et de l’essor de la logistique, les infrastructures nouvelles étant construites de préférence sur d’anciens sites. Il bénéficie également de l'intérêt croissant envers les projets de recyclage urbain.


Mais le coût élevé de la dépollution grève encore la rentabilité de ces opérations immobilières. Pour améliorer leur retour sur investissement, il s’avère essentiel de mieux maîtriser la phase de traitement des matières polluées ainsi que l’activité « études-ingénierie ». Ce dernier maillon cristallise actuellement l’attention des acteurs en aval de la filière qui multiplient les acquisitions de bureaux d’études.


Dès lors, comment le jeu concurrentiel peut-il encore évoluer ? Quels sont les autres leviers pour réduire les délais et les coûts des opérations ? Les experts de Xerfi ont à ce titre analysé les leviers de croissance et d’optimisation activés par les acteurs de la dépollution des sites et sols pollués.


• Le premier d’entre eux consiste à proposer une offre « clé en main » afin d’optimiser coûts, délais et qualité de prestation. L’étude revient ici sur la tendance à l’intégration de la chaîne de valeur et à l’enrichissement de la palette de compétences. Tel est le cas du groupe d’ingénierie Ginger, qui propose une prestation globale grâce au développement de ses compétences.
• Deuxième stratégie à l’œuvre, celle de l’amélioration des procédés de traitement des sites et sols pollués. Les axes d’amélioration technique en matière de dépollution sont nombreux, comme en témoignent les cas de Bioinspir ou Tellux, qui mettent en œuvre des procédés innovants basés sur l’usage de champignons ou de plantes spécifiques.
• Le recentrage sur des marchés porteurs constitue la troisième des stratégies à l’œuvre. Des segments tels que la réhabilitation de sites énergétiques, le désamiantage de trains ou de navires sont ainsi autant d’opportunités de croissance pour des acteurs comme DI Environnement et le groupement Cardem.
• Enfin, dernière stratégie décryptée dans l’étude, la diversification des débouchés géographiques, que ce soit au sein des frontières du pays, c’est-à-dire dans les différentes régions, ou à l’international.


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