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L’identification et le transfert des « meilleures pratiques » est un enjeu crucial pour les entreprises. A première vue, transférer des « meilleures pratiques » à l’intérieur d’une même entreprise ne devrait pas poser de problème insurmontable. Pourtant, la plupart des entreprises en sont incapables. Comment expliquer ce phénomène ?

D’après Gabriel Szulanski, quatre types de facteurs sont susceptibles de compliquer le transfert d’une « meilleure pratique » au sein d’une entreprise :

• caractéristiques de la « meilleure pratique ». Le transfert devrait être particulièrement difficile lorsqu’une « meilleure pratique » est difficile à comprendre et qu’elle n’a pas totalement fait ses preuves ;
• caractéristiques de celui qui a développé la « meilleure pratique » (« l’émetteur »). Le transfert devrait être particulièrement difficile lorsque l’émetteur n’est pas motivé par le transfert de la « meilleure pratique » et qu’il n’est pas perçu comme fiable par celui qui doit se l’approprier ;
• caractéristiques de celui qui doit s’approprier la « meilleure pratique » (le « récepteur »).  Le transfert devrait être particulièrement difficile lorsque le récepteur n’est pas motivé par le transfert de la « meilleure pratique » et a du mal à acquérir de nouvelles compétences ;
• relations entre l’émetteur et le récepteur. Le transfert devrait être particulièrement difficile lorsque l’émetteur et le récepteur n’interagissent pas souvent ou n’entretiennent pas de bonnes relations.

Pour identifier les « véritables » barrières au transfert des « meilleures pratiques », Szulanski été analysé 122 tentatives de transfert au sein de huit entreprises. Les résultats de l’étude montre que seuls trois facteurs ont une influence déterminante sur le transfert des « meilleures pratiques ». La capacité du récepteur à acquérir de nouvelles connaissances se détache très nettement. Viennent ensuite la difficulté à comprendre la « meilleure pratique » et la qualité de la relation entre l’émetteur et le récepteur. Pour faciliter le transfert des « meilleures pratiques » dans les entreprises, il faut donc avant tout « apprendre à apprendre »...

Source : Szulanski, G. (1996), “Exploring internal stickiness: Impediments to the transfer of best practice within the firm”, Strategic Management Journal, 17(Winter Special Issue), 27-43.


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