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Les groupes privés de l'enseignement supérieur affichent une santé insolente. Et avec l’aide du private equity, ils dynamisent le marché de l’enseignement supérieur dans son ensemble grâce à un activisme débridé. Créations d’écoles, accélération dans le digital learning et l’alternance, acquisitions ou encore alliances se multiplient ainsi sur ce marché. Des mouvements qui sont passés au crible dans la dernière étude Xerfi Precepta.

L’hyper-dynamisme des groupes privés conduit cependant à une concurrence toujours plus vive qui oblige les acteurs à mieux singulariser les offres. L’hybridation, avec des formations multi-domaines, apparaît comme la nouvelle formule gagnante, au risque de brouiller le positionnement initial des écoles. En parallèle, l’indispensable virage vers le e-learning atteint parfois ses limites, avec des effets préjudiciables sur l’identité et la promesse de valeur des établissements. Le retour de l’inflation et l’effritement du pouvoir d’achat compliquent aussi l’équation, les acteurs devant maintenir l’attractivité-prix des programmes tout en rehaussant les frais de scolarité pour financer les investissements.

Dès lors, quels profils d’acteurs sont les mieux armés pour s’imposer à l’avenir ? Dans quelle mesure le secteur va-t-il encore se consolider ? Et quelles perspectives se dessinent d’ici 2025 ? Les experts de Xerfi ont pour cela décrypté les stratégies des groupes privés de l’enseignement supérieur en se basant sur des études de cas concrets :

• Mentionnons d’abord le développement de nouvelles écoles et formations ou cursus diplômants, à l’instar de Galileo Global Education qui a lancé en 2021 Eva Santé (pour former des aides-soignantes) et Elije en 2022, école dédiée au droit et à l’intelligence juridique. Preuve de son activisme, le leader européen de l’enseignement supérieur privé vient d’entrer au capital de l’emlyon, l’un des fleurons français de l’enseignement en management.
• Autre axe clé, l’expansion géographique en France, qui passe par la construction ou la location de nouveaux sites comme le nouveau campus dernière génération ouvert à la Défense par OMNES Education en septembre 2022.
• Les groupes privés se développent également à l’international à l’image d’AD Education qui a racheté en février 2022, SAE Institute Europe, leader de l’enseignement supérieur dans le domaine de l’audiovisuel et des médias créatifs avec plus de 4 000 étudiants.
• Ces groupes investissent aussi largement dans le digital, via notamment des acquisitions. Par exemple le rachat de l’Ecole Française par Eduservices en mars 2022.
• Ils soignent enfin leurs relations avec les entreprises tout en investissant le créneau de l’insertion professionnelle grâce à la multiplication des programmes en apprentissage et des chaires d’entreprises.


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